Trump enters final week as president with few allies, no Twitter and efforts to impeach him

Trump entre dans la dernière semaine en tant que président avec peu d'alliés, pas de Twitter et des efforts pour le destituer.

Trump doit apparaître en public mardi lorsqu'il se rendra à la frontière du Texas.


WASHINGTON - Le président Donald Trump apparaîtra en public mardi lors d'une visite dans une partie du mur frontalier du Texas, lui offrant ce qui pourrait être l'une de ses premières opportunités de parler au public américain depuis qu'il a perdu son orateur sur les réseaux sociaux.


Au cours du week-end suivant les émeutes du Capitole qu'il a incitées, Trump est resté silencieux à l'intérieur de la Maison Blanche au milieu de la tourmente, exacerbée par le départ du personnel, les décisions prises à son sujet et son emploi du temps ayant ensuite été annulées.


Les derniers jours de sa présidence pourraient devenir les plus déterminants, alors que Trump se sépare de son allié le plus fidèle à Washington et doit à nouveau faire face à des responsabilités.


Trump reste provocant, selon deux sources proches de sa pensée. Il n'a pas l'intention de démissionner malgré les appels bipartisistes pour qu'il quitte ses fonctions avant la fin de son mandat le 20 janvier, et il a également indiqué qu'il pensait que ses partisans seraient irrités par la décision de Twitter et d'autres entreprises technologiques de le bloquer. Pour ceux à qui il parle, il continue de prétendre à tort qu'il a remporté l'élection


Un responsable de la Maison Blanche a déclaré lundi matin qu'il y avait des discussions sur la tenue d'un événement public plus tard dans la journée, mais à midi, il n'était pas clair si cela se produirait.




Un Marine était stationné à l'extérieur de l'aile ouest lundi matin, souvent pour indiquer que le président avait quitté le QG alors qu'il était dans le bureau ovale. Il devait recevoir la Médaille présidentielle de la liberté, considérée comme un grand honneur, lors d'une cérémonie spéciale lundi.


Un nombre croissant de ses alliés l'ont auparavant réprimandé publiquement ou l'ont évité secrètement au cours du week-end, et il n'a pas été en mesure de répondre sur Twitter après l'avoir interdit vendredi.


C'est une fin dramatique mais sans surprise à la présidence Trump après quatre ans de querelles quasi quotidiennes qui ont mis à l'épreuve les barrières de la démocratie et abouti à une attaque meurtrière contre le Capitole alors qu'un groupe pro-Trump tentait de renverser les résultats des élections. Mais c'est une tournure dramatique des événements pour un homme qui était considéré comme la personne la plus puissante du Parti républicain il y a une semaine et un candidat potentiel en 2024.

 

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